PRESENTATION
Bienvenue
Bienvenue sur le site du chemin de la blanche écume, un élevage professionnel mais également familial ! J'entends par "familial", une quantité raisonnable de chiens qui pourront plus facilement profiter de notre temps et vivre dans notre quotidien. Les chiens ne sont pas juste des animaux pour nous, ils sont des membres à part entière de notre famille !
La naissance de l'élevage du Chemin de la Blanche Ecume, une passion familiale !
~ Le chemin de la Blanche Ecume découle avant tout de mon immense passion canine transmise par ma grand-mère, autefois éleveur ! Ici, la qualité primera toujours sur la quantité... ~
De passionée...
Depuis toute petite déjà, j'ai toujours été passionnée par les animaux. Concrètement, j'ai eu la chance de vivre une belle expérience avec de nombreux hamsters et mes deux chats Plume (décédée) et Flicka (âgée maintenant de 11 ans et qui vit avec nous). De là, j'ai eu 3 portées de chatons et j'ai gardé l'un d'eux : Diego (à la maison aussi, âgé aujourd'hui de 9 ans).
J'ai également eu la chance de grandir aux côtés d'un Golden Retriever (Diesel) et d'un Berger Allemand croisé (Ramses) qui étaient tous les deux les chiens de la famille.
Cavalière dans l'âme, j'ai fait de nombreux stages dans les centres équestres et passais également beaucoup de temps auprès des chevaux, poneys et autres animaux vivant au centre équestre (chiens, chats, chèvres, volatiles?)
Mais si le monde animal m'a toujours fasciné, l'espèce canine est de loin celle qui se démarque le plus !
Je me souviens encore de ces journées où ma grand-mère me parlait de son élevage canin, de ses chiens, me montrait des photos, sa passion était telle que je rêvais de devenir une adulte entourée de chiens, toutes races confondues.
L'idée d'élevage ne me traversait pas spécialement l'esprit vu que je souhaitais devenir vétérinaire ou professeur des écoles !
J'ai bien songé entre deux à partir en lycée agricole pour faire une formation agricole et animalière mais pour mes parents, il était plus prudent que je suive la voie générale.
J'ai donc obtenu mon bac, puis, j'ai fait le choix de devenir prioritairement professeur des écoles afin d'avoir le temps de m'occuper de mes chiens lorsque j'en aurai et d'éventuellement faire des portées.
Je suis allée en licence de géographie et aménagement du territoire qui abordait une grande discipline sur l'agriculture. Durant ma L1, j'ai trouvé un boulot à mi-temps pour adopter mon premier chien et subvenir à ses besoins. A ce moment, je cherchais un chien sportif pour courir avec moi, dont l'éducation serait facile pour une débutante. Il était nécessaire que ce chien puisse se tenir en appartement. J'ai passé presque 10 mois à chercher la race faite pour moi, à lire des articles, à me renseigner. Je me suis donc lancée pour la première fois en 2015 avec l'adoption de Lucky ma berger australien !
Après la licence, nous avons déménagé en maison à la campagne. Pour moi, ça ne voulait dire qu'une seule chose : plus de place, plus de chiens !
Seulement, bien que Lucky soit l'amour de ma vie, le berger australien n'était finalement pas vraiment le chien « parfait » à mes yeux. Beaucoup plus actif que ce que l'on m'avait dit, il s'agissait d'une race très dépendante, destructrice et très stressée (en tout cas concernant Lucky). J'ai passé du temps en club canin, des heures d'éducation et de répétition. J'ai attendu aussi qu'elle s'assagisse avant de penser à avoir un deuxième chien. J'ai même suivi une formation animalière à distance dans un établissement privé option élevage canin afin de pouvoir mieux comprendre ses attentes et m'adapter au mieux pour elle.
Si vous saviez le nombre de personnes qui m'a recommandé de la rendre à ses éleveurs, de m'en séparer, de lui trouver une famille plus adéquate. Il en était hors de question ! Lorsque l'on adopte un chien, c'est pour la vie, pour le meilleur et pour le pire ! Et comme on dit : « il n'y a pas de mauvais chiens, il n'y a que des mauvais maîtres » ?
Je voulais un deuxième chien mais pas un berger australien. Au début, j'avais l'idée de prendre un chien finnois de Laponie. Ayant appris après l'adoption de Lucky que « l'aussie » devenait un de ces chiens « à la mode », je voulais une race moins connue, plus calme, plus indépendante mais qui soit quand même bien en famille et qui apprécie les bonnes randonnées. Un chien où complicité ne rime pas avec fouge extrême dont Lucky détient le secret !
Il fallait que je rencontre moi-même les races et que je découvre concrètement leur tempérament. Nous nous sommes donc rendus en exposition multi race en tant que spectateur. Et c'est là que j'ai découvert l'Eurasier, je veux dire découvert autrement qu'à travers des photos. Je crois que nous sommes restés toute l'après midi assis à leur stand. Nous avons pu discuter avec des propriétaires d'eurasiers et j'ai eu un réel coup de foudre pour ces chiens.
Jusqu'à ce jour, le côté primitif me faisait penser aux huskys que je trouvais très beaux mais dont le caractère n'était pas compatible avec ce que je recherchais.
Mais après cela, c'est devenue une évidence, l'Eurasier serait mon deuxième chien. Nous avons mis du temps à trouver notre élevage. Je ne voulais pas d'usine à chiot, je voulais des éleveurs passionnés, que les tests obligatoires soient réalisés avec des mariages mûrement réfléchis. Mais je me suis vite rendue compte que les bébés eurasiers et les élevages n'étaient pas très nombreux à ce moment et que les listes d'attente étaient bien plus longues que ce que je pensais.
Une fois l'élevage correspondant à toutes nos attentes ciblé, nous avons fait 7h de route pour les rencontrer, nous avons longuement parlé avec les éleveurs pour apprendre à les connaître un minimum. Le feeling est de suite passé ! Nous avions donc pré-réservée une femelle sans choix de couleur et nous n'étions pas prioritaires.
6 mois plus tard, 7 oursons ont vu le jour : 6 mâles et une femelle. J'étais ravie d'apprendre que la portée se portait bien mais n'ayant qu'une femelle, nous devions donc passer notre tour ! Elle était promise à une autre famille. Peu importe, à ce moment, nous étions prêts à attendre et nous ne voulions adopter que dans cet élevage.
Chance ou hasard, pour une raison quelconque, cette famille s'est désistée et j'ai eu l'immense joie de pouvoir réserver ma petite Octavia du Royaume des Etangs !
Elle s'est vite intégrée que ce soit auprès de Lucky, des chats ou de nous. Elle a tout de suite été une petite chienne très proche de l'Homme, très câline, joueuse et surtout CALME ! (Je remercie d'ailleurs encore aujourd'hui ses éleveurs pour leur merveilleux travail de socialisation)
J'ai ensuite terminé mon cursus universitaire par un Master MEEF (métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation) afin d'exercer en tant que professeur des écoles.
En vivant avec Octavia, mon coup de foudre n'a fait que se confirmer. Nous l'avons d'abord faite confirmer. Le juge a dit je cite « c'est un très beau modèle » et j'étais plus que ravie d'entendre cela de la bouche d'un professionnel objectif.
Puis, en mai 2020, Octavia a mis au monde 8 beaux bébés en excellente santé. Et l'élevage du chemin de la blanche écume s'est vu accueillir ses premiers bébés eurasiers !
Rujka Shungite du chemin de la blanche écume, fille d'Octavia du Royaume des Etangs et d'Oslow vit maintenant auprès de notre belle et grande famille et participe à l'évolution de ce petit élevage aux côtés de sa mère.
... A professionnelle...
J'ai exercé en tant que professeur des écoles remplaçant mais n'ayant pas la possibilité juridique de posséder deux statuts et donc d'exercer convenablement les deux emplois, j'ai décidé de passer l'ACACED que j'ai obtenu en juin 2021, de faire ma demande de numéro de SIREN et de me vouer entièrement à mes animaux. Je suis donc présente 7/7j, 24/24h pour leur épanouissement et leur bien-être et suis ainsi présente lors de chaque mise bas pour limiter de quelconques risques à la mère et agir rapidement en cas de problèmes !
Depuis toute petite déjà, j'ai toujours été passionnée par les animaux. Concrètement, j'ai eu la chance de vivre une belle expérience avec de nombreux hamsters et mes deux chats Plume (décédée) et Flicka (âgée maintenant de 11 ans et qui vit avec nous). De là, j'ai eu 3 portées de chatons et j'ai gardé l'un d'eux : Diego (à la maison aussi, âgé aujourd'hui de 9 ans).
J'ai également eu la chance de grandir aux côtés d'un Golden Retriever (Diesel) et d'un Berger Allemand croisé (Ramses) qui étaient tous les deux les chiens de la famille.
Cavalière dans l'âme, j'ai fait de nombreux stages dans les centres équestres et passais également beaucoup de temps auprès des chevaux, poneys et autres animaux vivant au centre équestre (chiens, chats, chèvres, volatiles?)
Mais si le monde animal m'a toujours fasciné, l'espèce canine est de loin celle qui se démarque le plus !
Je me souviens encore de ces journées où ma grand-mère me parlait de son élevage canin, de ses chiens, me montrait des photos, sa passion était telle que je rêvais de devenir une adulte entourée de chiens, toutes races confondues.
L'idée d'élevage ne me traversait pas spécialement l'esprit vu que je souhaitais devenir vétérinaire ou professeur des écoles !
J'ai bien songé entre deux à partir en lycée agricole pour faire une formation agricole et animalière mais pour mes parents, il était plus prudent que je suive la voie générale.
J'ai donc obtenu mon bac, puis, j'ai fait le choix de devenir prioritairement professeur des écoles afin d'avoir le temps de m'occuper de mes chiens lorsque j'en aurai et d'éventuellement faire des portées.
Je suis allée en licence de géographie et aménagement du territoire qui abordait une grande discipline sur l'agriculture. Durant ma L1, j'ai trouvé un boulot à mi-temps pour adopter mon premier chien et subvenir à ses besoins. A ce moment, je cherchais un chien sportif pour courir avec moi, dont l'éducation serait facile pour une débutante. Il était nécessaire que ce chien puisse se tenir en appartement. J'ai passé presque 10 mois à chercher la race faite pour moi, à lire des articles, à me renseigner. Je me suis donc lancée pour la première fois en 2015 avec l'adoption de Lucky ma berger australien !
Après la licence, nous avons déménagé en maison à la campagne. Pour moi, ça ne voulait dire qu'une seule chose : plus de place, plus de chiens !
Seulement, bien que Lucky soit l'amour de ma vie, le berger australien n'était finalement pas vraiment le chien « parfait » à mes yeux. Beaucoup plus actif que ce que l'on m'avait dit, il s'agissait d'une race très dépendante, destructrice et très stressée (en tout cas concernant Lucky). J'ai passé du temps en club canin, des heures d'éducation et de répétition. J'ai attendu aussi qu'elle s'assagisse avant de penser à avoir un deuxième chien. J'ai même suivi une formation animalière à distance dans un établissement privé option élevage canin afin de pouvoir mieux comprendre ses attentes et m'adapter au mieux pour elle.
Si vous saviez le nombre de personnes qui m'a recommandé de la rendre à ses éleveurs, de m'en séparer, de lui trouver une famille plus adéquate. Il en était hors de question ! Lorsque l'on adopte un chien, c'est pour la vie, pour le meilleur et pour le pire ! Et comme on dit : « il n'y a pas de mauvais chiens, il n'y a que des mauvais maîtres » ?
Je voulais un deuxième chien mais pas un berger australien. Au début, j'avais l'idée de prendre un chien finnois de Laponie. Ayant appris après l'adoption de Lucky que « l'aussie » devenait un de ces chiens « à la mode », je voulais une race moins connue, plus calme, plus indépendante mais qui soit quand même bien en famille et qui apprécie les bonnes randonnées. Un chien où complicité ne rime pas avec fouge extrême dont Lucky détient le secret !
Il fallait que je rencontre moi-même les races et que je découvre concrètement leur tempérament. Nous nous sommes donc rendus en exposition multi race en tant que spectateur. Et c'est là que j'ai découvert l'Eurasier, je veux dire découvert autrement qu'à travers des photos. Je crois que nous sommes restés toute l'après midi assis à leur stand. Nous avons pu discuter avec des propriétaires d'eurasiers et j'ai eu un réel coup de foudre pour ces chiens.
Jusqu'à ce jour, le côté primitif me faisait penser aux huskys que je trouvais très beaux mais dont le caractère n'était pas compatible avec ce que je recherchais.
Mais après cela, c'est devenue une évidence, l'Eurasier serait mon deuxième chien. Nous avons mis du temps à trouver notre élevage. Je ne voulais pas d'usine à chiot, je voulais des éleveurs passionnés, que les tests obligatoires soient réalisés avec des mariages mûrement réfléchis. Mais je me suis vite rendue compte que les bébés eurasiers et les élevages n'étaient pas très nombreux à ce moment et que les listes d'attente étaient bien plus longues que ce que je pensais.
Une fois l'élevage correspondant à toutes nos attentes ciblé, nous avons fait 7h de route pour les rencontrer, nous avons longuement parlé avec les éleveurs pour apprendre à les connaître un minimum. Le feeling est de suite passé ! Nous avions donc pré-réservée une femelle sans choix de couleur et nous n'étions pas prioritaires.
6 mois plus tard, 7 oursons ont vu le jour : 6 mâles et une femelle. J'étais ravie d'apprendre que la portée se portait bien mais n'ayant qu'une femelle, nous devions donc passer notre tour ! Elle était promise à une autre famille. Peu importe, à ce moment, nous étions prêts à attendre et nous ne voulions adopter que dans cet élevage.
Chance ou hasard, pour une raison quelconque, cette famille s'est désistée et j'ai eu l'immense joie de pouvoir réserver ma petite Octavia du Royaume des Etangs !
Elle s'est vite intégrée que ce soit auprès de Lucky, des chats ou de nous. Elle a tout de suite été une petite chienne très proche de l'Homme, très câline, joueuse et surtout CALME ! (Je remercie d'ailleurs encore aujourd'hui ses éleveurs pour leur merveilleux travail de socialisation)
J'ai ensuite terminé mon cursus universitaire par un Master MEEF (métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation) afin d'exercer en tant que professeur des écoles.
En vivant avec Octavia, mon coup de foudre n'a fait que se confirmer. Nous l'avons d'abord faite confirmer. Le juge a dit je cite « c'est un très beau modèle » et j'étais plus que ravie d'entendre cela de la bouche d'un professionnel objectif.
Puis, en mai 2020, Octavia a mis au monde 8 beaux bébés en excellente santé. Et l'élevage du chemin de la blanche écume s'est vu accueillir ses premiers bébés eurasiers !
Rujka Shungite du chemin de la blanche écume, fille d'Octavia du Royaume des Etangs et d'Oslow vit maintenant auprès de notre belle et grande famille et participe à l'évolution de ce petit élevage aux côtés de sa mère.
... A professionnelle...
J'ai exercé en tant que professeur des écoles remplaçant mais n'ayant pas la possibilité juridique de posséder deux statuts et donc d'exercer convenablement les deux emplois, j'ai décidé de passer l'ACACED que j'ai obtenu en juin 2021, de faire ma demande de numéro de SIREN et de me vouer entièrement à mes animaux. Je suis donc présente 7/7j, 24/24h pour leur épanouissement et leur bien-être et suis ainsi présente lors de chaque mise bas pour limiter de quelconques risques à la mère et agir rapidement en cas de problèmes !